À Bamako, les files d'attente devant les stations-service sont devenues courantes, obligeant les usagers à attendre des heures pour du carburant. Cette pénurie, causée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (JNIM), a conduit à une augmentation des prix sur le marché noir, affectant particulièrement les plus pauvres. Un rapport du Timbuktu Institute souligne la stratégie des islamistes visant à paralyser l'économie de la capitale. Teljes cikk (LeFigaro)