La crise politique au Bangladesh est marquée par des tensions entre l'armée, l'opposition et les mouvements étudiants, avec des appels à des élections avant décembre. Muhammad Yunus, le dirigeant actuel, exprime des doutes sur sa capacité à réformer le système et à organiser des élections équitables. La situation s'aggrave avec des manifestations et l'interdiction de la Ligue Awami, ce qui complique davantage l'équation démocratique du pays. Teljes cikk (LeFigaro)