Le rapport de la Ligue tunisienne des Droits de l’Homme révèle une surpopulation carcérale de 150% et une augmentation de 10.000 prisonniers en deux ans. Fethi Jarray, président de l’Instance Nationale pour la Prévention de la Torture, attribue cette situation à des arrestations arbitraires et à la lenteur du processus judiciaire. Les partisans de Kais Saïed soutiennent l'efficacité de la justice, tandis que la société civile parle de harcèlement judiciaire et d'instrumentalisation des tribunaux depuis 2021. Teljes cikk (LeFigaro)