Les institutions turques intensifient leur répression contre le CHP, principal parti d'opposition, avec l'arrestation de plusieurs élus, dont Ekrem Imamoglu, maire d'Istanbul. Ces actions sont perçues comme une tentative de neutraliser toute alternative crédible à Erdogan avant les élections de 2028. Malgré la répression, le CHP mobilise ses partisans et appelle à des élections anticipées, tandis que la communauté internationale exprime son inquiétude face à la situation démocratique en Turquie. Teljes cikk (LeFigaro)